Chloé Mikolajczak, 28 ans, se définit comme une activiste de la régénération et de la démocratie, principalement au niveau européen. Elle est convaincue qu’un monde meilleur est possible et met tout en œuvre pour le créer.

Les nombreuses marches pour le climat organisées ces dernières années confirment l’intérêt et la prise de conscience croissante pour le changement climatique. Chloé pense que cet engagement collectif peut se poursuivre dans nos études et dans notre vie professionnelle.

Un parcours scolaire guidé par le souhait d’un monde meilleur

Née dans une famille qui ne parlait pas de politique ou d’écologie, Chloé a toujours été sensible à l’injustice. Elle a commencé à étudier le droit, mais s’est vite rendu compte que ce n’était pas ce qu’elle voulait faire. Elle voulait une vie, une carrière qui ait du sens pour elle. Chloé a donc décidé de faire un master en sciences et gestion de l’environnement et a enchaîné avec un master en communication avec finalité communication politique et lobbying, à l’Université libre de Bruxelles.

Une carrière professionnelle porteuse de sens

Après ses études, Chloé commence à travailler pour de grandes organisations avec l’ambition de rendre leurs activités plus durables, mais elle réalise rapidement que cette voie ne lui correspond pas.

Elle devient alors chargée de campagnes, rôle qui consiste à encourager le monde politique à adopter des mesures plus ambitieuses en matière de biodiversité, climat, etc. Une voie qui est plus en adéquation avec ses valeurs, mais pour autant, Chloé ne s’arrête pas là !

Elle co-crée ensuite le podcast The Burning Case qui explique ‘le pourquoi’ et ‘le comment’ de certaines décisions politiques et fonde le projet ‘The Green Seeds’, qui consiste à se rendre dans les écoles pour sensibiliser les jeunes à divers sujets environnementaux.

Grâce à ces multiples projets qui donnent du sens à sa vie, Chloé se sent aujourd’hui alignée et encourage les jeunes d’aujourd’hui à faire des études porteuses de sens.